« Prison mentale » traduit avec intensité une réalité que nous connaissons tous, consciemment ou non : notre dépendance aux écrans, aux réseaux sociaux, et surtout à nos propres croyances limitantes qui créent une prison invisible mais bien réelle. Réalisée entièrement en traits verticaux en techniques mixtes (pastels traditionnels puis numérique), cette œuvre symbolise l’oppression et le cloisonnement imposés par notre propre regard.

Au cœur de l’illustration, un homme absorbé par son smartphone semble enfermé par des barreaux de chaque côté. Pourtant, sa cage n’a que trois côtés : devant lui, une large ouverture vers la liberté qu’il ne perçoit pas, obnubilé par l’écran lumineux. Un message fort qui rappelle que l’issue existe, mais qu’il est nécessaire de relever la tête pour la voir.

Accrocher « Prison mentale » dans votre intérieur, c’est décider de vous offrir un rappel quotidien de liberté, un encouragement à reprendre le contrôle de votre attention et à oser regarder vers l’avant.

(Cadre non fourni.)